Découvrez comment Ogden est unique
Découvrez comment Ogden est unique et laissez-vous émerveiller par la beauté de son territoire dans cette vidéo réalisée durant Ogden en Fête célébrant son 90e anniversaire!
Merci à la MRC de Memphrémagog, instigatrice du projet et au BEAM, le Bureau Estrien de l’Audiovisuelle et du Multimédia pour la réalisation de cette vidéo.
À nouveau, merci à tous les bénévoles qui ont fait de cette célébration une grande réussite!
À nouveau, merci à tous les bénévoles qui ont fait de cette célébration une grande réussite!
Notre histoire
Rattaché à l’origine à la municipalité du Canton de Stanstead, le territoire de cette localité en était détaché en 1932 pour former une entité municipale autonome à laquelle on a attribué le nom d’Ogden. Bornée au sud par la frontière canado-américaine et, au nord, par la municipalité de canton mère, cette entité voit sa partie ouest baignée partiellement par les eaux du lac Memphrémagog.
Le personnage ainsi remémoré est un Américain du New Jersey, Isaac Ogden (1739-1824) qui, étant demeuré loyal à la couronne britannique, perdra la totalité de ses biens confisqués par les insurgés vainqueurs. Il quitte les États-Unis en 1783 pour l’Angleterre et vient au Canada en 1788, à titre de juge de la Cour de l’Amirauté.
Démontrant un vif intérêt pour les terres qui bordent le côté est du lac Memphrémagog jusqu’à la frontière qui sépare le Vermont du Québec, on lui concèdera la moitié est du Canton de Stanstead en 1798, espace où se situe la Municipalité d’Ogden. Pour gérer ce territoire, il ne s’adjoindra pas moins de 37 associés. En 1808, il renonce subitement à sa charge de magistrat et rentre en Angleterre où il demeurera jusqu’à sa mort.
Le personnage ainsi remémoré est un Américain du New Jersey, Isaac Ogden (1739-1824) qui, étant demeuré loyal à la couronne britannique, perdra la totalité de ses biens confisqués par les insurgés vainqueurs. Il quitte les États-Unis en 1783 pour l’Angleterre et vient au Canada en 1788, à titre de juge de la Cour de l’Amirauté.
Démontrant un vif intérêt pour les terres qui bordent le côté est du lac Memphrémagog jusqu’à la frontière qui sépare le Vermont du Québec, on lui concèdera la moitié est du Canton de Stanstead en 1798, espace où se situe la Municipalité d’Ogden. Pour gérer ce territoire, il ne s’adjoindra pas moins de 37 associés. En 1808, il renonce subitement à sa charge de magistrat et rentre en Angleterre où il demeurera jusqu’à sa mort.
- Extrait du livre de Toponymie du Québec
Ne cherchez pas un point sur la carte représentant la Municipalité d’Ogden : il n’y en a pas. Ogden n’est ni une ville, ni un village. Notre municipalité ne compte, en effet, aucun «noyau villageois». L’ensemble de la Municipalité d’Ogden est plutôt représenté par un écheveau de petites routes de campagne où chaque croisement abrite ce qui reste des agglomérations du siècle dernier : Cedarville, Graniteville, Griffin, Marlington, Tomifobia, Apple Grove, Gline’s Corner, Ruiter’s Corner, Ticehurst Corner et Comstock Mills.
Graniteville est situé à la croisée des chemins Cedarville et Marlington. Bien que l’agglomération ait toujours compté très peu d’habitants, sa réputation et son nom reposent sur ses carrières de granit, dont la plus grande au Canada. Le minerai qu’on y extrait depuis 1885 recouvre des édifices importants, tels que l’abbaye Saint-Benoît-du-Lac et l’édifice Sun Life de Montréal. On y trouve aussi un temple de l’Église Unie d’architecture traditionnelle (1896).
Jadis surnommé Smith’s Mills, le village de Tomifobia regroupait autrefois de nombreux moulins associés aux exploitations forestières locales. Le chemin de fer qui traversait l’agglomération à compter de 1860 en fit un village dynamique comptant une gare, une auberge, un bureau de poste, deux églises et une école. Avec la venue de l’automobile, cependant, vint le déclin des petits villages longeant la voie ferrée, de sorte que Tomifobia n’est plus aujourd’hui qu’un petit regroupement résidentiel à la croisée des chemins longeant la rivière du même nom.
L’un des secrets bien gardés d’Ogden, le parc Weir, offre aux amateurs de villégiature une plage publique où la baignade est permise, ainsi que quelques sites de camping. L’ancien quai fédéral adjacent au parc offre un accès public au lac Memphrémagog.
Graniteville est situé à la croisée des chemins Cedarville et Marlington. Bien que l’agglomération ait toujours compté très peu d’habitants, sa réputation et son nom reposent sur ses carrières de granit, dont la plus grande au Canada. Le minerai qu’on y extrait depuis 1885 recouvre des édifices importants, tels que l’abbaye Saint-Benoît-du-Lac et l’édifice Sun Life de Montréal. On y trouve aussi un temple de l’Église Unie d’architecture traditionnelle (1896).
Jadis surnommé Smith’s Mills, le village de Tomifobia regroupait autrefois de nombreux moulins associés aux exploitations forestières locales. Le chemin de fer qui traversait l’agglomération à compter de 1860 en fit un village dynamique comptant une gare, une auberge, un bureau de poste, deux églises et une école. Avec la venue de l’automobile, cependant, vint le déclin des petits villages longeant la voie ferrée, de sorte que Tomifobia n’est plus aujourd’hui qu’un petit regroupement résidentiel à la croisée des chemins longeant la rivière du même nom.
L’un des secrets bien gardés d’Ogden, le parc Weir, offre aux amateurs de villégiature une plage publique où la baignade est permise, ainsi que quelques sites de camping. L’ancien quai fédéral adjacent au parc offre un accès public au lac Memphrémagog.
Conseil municipal
Maire
M. Lépine est à Ogden depuis 1965, comme propriétaire depuis 1977 et comme résident permanent depuis 2020. Il a contribué à la création de la Reserve naturelle du Ruisseau-Tomkin. Ses priorités seront les services aux citoyens (chemins, ordures, déneigement, etc.), la protection de notre environnement naturel et l’encadrement systématique du développement. Transparence et communication avec les citoyens seront au cœur de ses actions.
Conseillers
M. Sudlow est un grand voyageur et vétéran en politique municipale, ayant passé 32 ans en ce domaine. Il est un éducateur retraité, diplômé en ingénierie, et a passé 50 ans à faire de la course à distance compétitive, ce qui l'amène naturellement à rechercher davantage de possibilités pour des loisirs publics locaux hors route afin de soutenir un mode de vie sain, et à faire de la protection de l'environnement une priorité.
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M. Lesage habite Ogden depuis 10 ans. Ingénieur civil gradué de l’école Polytechnique de l’Université de Montréal, il a, durant sa carrière, travaillé au sein de diverses municipalités dont Drummondville et Longueuil. Avant de se porter candidat au poste de conseiller, il était membre citoyen du Comité consultatif d’urbanisme de la municipalité. Il désire mettre son expérience au service des citoyens d’Ogden.
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M. Boileau a œuvré dans plus d’une quinzaine de villes en Amérique du Nord en tant que dirigeant de sociétés publiques et privées. Possédant une expertise reconnue au niveau de la gestion et de l’amélioration des processus opérationnels ainsi que dans le domaine des fusions, acquisitions et démarrage d’entreprise, il est résident d’Ogden depuis plus de 20 ans et entend utiliser sa vaste expérience afin d’actualiser une vision saine et respectueuse de la municipalité d’Ogden.
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M. Scott intente tirer parti de sa vaste expérience en matière de l'analyse politique des technologies de l'information ainsi que dans le domaine du bénévolat et de la collecte de fonds. Son but est d’aider le maire et les autres membres du conseil municipal à améliorer la qualité de vie à Ogden.
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Mme Dupras possède plus de 25 ans d'expérience dans l'organisation de réunions et d’évènements internationaux autant pour les corporations multinationales que pour des organismes canadiens à but non-lucratif. Elle a enseigné au Collège John Abbott pendant huit ans dans le programme de logistique et gestion d'évènements.
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M. Fafard est propriétaire à Ogden depuis 25 ans et résident permanent depuis 2021. Il aimerait travailler à la transparence du processus décisionnel, s'assurer que nous maximisons l'utilisation de chaque dollar de taxe et améliorer les services offerts aux résidents. Par ailleurs, comme la municipalité devient extrêmement populaire et est en pleine croissance, il croit que nous devons gérer cette croissance en tenant compte, entre autres, de l'environnement et de l'urbanisme. Il aime cet endroit et veut le protéger.
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Code d'éthique et de déontologie
Conformément à la Loi, le conseil a adopté le 7 novembre 2011 un code d'éthique et de déontologie pour tous ses membres (Code d'éthique et de déontologie).